Rêves et passions

Rêves et passions

Guyang, le zoo

La nuit cette fois encore avait ete difficile, le lit de bagnard n avait pas permis le repos et les bieres n avaient pas fait l effet escompte !.. Le froid de la chambre m avait maintenu eveille... et la couverture chauffante n avait eu pour effet que de me dessiner un serpent dans le dos...
La ville que je decouvrais de jour etait differente de toutes celles parcourues...
Les rues etaient sales et humides, les trottoires glissants. Des hommes portaient des hotes de bambous sur le dos et les femmes des enfants enmitoufles dans des linges colores...
Sans trop savoir ou aller, j avancais a la decouverte de ce gens que j intriguaient...
Une marchande vendait des gateaux... Bonne idee. Je lui en demandait un, elle me servie un kilo... Incomprehension !.. Je repartait avec mon kilo de gateau, et me dit que je trouverais bien a qui faire plaisir...
Rapide coup d oeil sur internet, pas envie de m eterniser, j ai des choses a decouvrir...
 
11h00 j empreinte la centaine de marches sales et gluantes qui me ramenent a ma chambre...Je m effondre sur ce lit hostile et plonge dans un sommeil profond. On vient de frapper a ma porte, je sursaute, il est 12h30 tres precisement, j adore...
 
Fungshuen et son amie son la... Je tente d emmerger, pas facile...
 
Nous descendons, marchons un peu et prenons le bus pour le zoo. Au milieu d un parc immense, terrain privilegie de detente des habitants de la ville, le spectacle qu offre ces aniamux dans des cages reduites aux fortes odeurs d ammoniaue me repugne. S en est assez...
 
Plus loin des claquements de fouets attirent mon attention, je craint le pire. Erreur, se sont des hommes qui fouettent des toupies chantantes... Un homme s exerce a l art de calligraphie ephemere, il dessine des ideogrammes sur le sol avec un pinceau trempe dans l eau...
 
Nous marchons, un peu partout des singes font l aumones !.. Dans un square des hauts parleurs delivrent un son nazillard : des femmes jouent une scene a laquel je ne comprend rien !.. Ce spectacle me met mal alaise, Fugshuen ne semble pas appreciee non plus...
 
Symbole d harmonie et de paix, de vielles femmes habillees de soie pratiquent le combat de l ombre. Le Taichi. J observe, les gestes sont lent, la choregraphie est belle...
 
L amie de Fungshuen me tire le bras, il y a encore des chose a voir. Tout les trois arpentons un chemin qui mene au sommet de la colline. La trone un ensemble de temples. Odeurs d encens, des hommes et des femmes prient. L amie de Fungshuen est croyante, elle m enseigne les comportement a adopter : entrer dans un temple avec le pied droit en premier... Les statuts sont nombreuses, enigmatiques...
 
L apres midi est passe tres vite, deja la nuit enveloppe discretement le sommet de la colline d un voile gris. Il nous faut redescendre.
 
Arrive dans le centre de la ville, les echopes qui preparent la nourriture ont dressees des tentes pour proteger la cleintele du froid et de l humiditee.
 
Nous nous installons a une table: viandes, poissons et legumes a volontee pour 30 Yuang...
 
L echange est enrichissant, les eclats de rires fusent... La biere est bonne, mais tout les trois savons...
 
Nous savons que cette rencontre ne sera sans doute qu ephemere. Les miss me racompagnent, echange d adresses mails, l espoir de prolonger cet instant magique.
 
Derniers regards, il faut se quitter...



28/11/2009
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